Methicillin-resistant Staphylococcus pseudintermedius skin infections are an increasing concern in veterinary medicine, especially when found in juvenile dogs with no prior antimicrobial exposure. The objectives of this study were to assess the prevalence of methicillin-resistant staphylococci in breeding bitches and survey antimicrobial administration by their breeders. A total of 17 breeders and 54 bitches were included. Bitches were housed in diverse environments throughout the Phoenix, Arizona, USA metropolitan region. Nasal and oral gingival swabs were submitted for selective culture. Methicillin-resistant Staphylococcus aureus was not present, while methicillin-resistant Staphylococcus pseudintermedius was found in only 1/54 (1.9%) dogs. Survey results revealed that 16 bitches, which did not include the 1 MRSP-positive dog, had received antimicrobials within 6 months prior to sampling. Regardless of the low point prevalence identified, veterinarians and breeders should be cognizant of risks for bacterial resistance with the overuse of antimicrobials.
Patron d’utilisation des antimicrobiens rapporté par les éleveurs et prévalence ponctuelle de Staphylococcus spp. résistant à la méthicilline parmi des chiennes de reproduction dans le Sud-Ouest des États-Unis. Les infections cutanées dues à Staphylococcus pseudintermedius résistant à la méthicilline sont une préoccupation grandissante en médecine vétérinaire, surtout lorsque retrouvée chez des chiens juvéniles sans exposition préalable aux antibiotiques. Les objectifs de la présente étude étaient d’évaluer la prévalence de staphylocoques résistants à la méthicilline chez des chiennes reproductrices et sonder l’administration d’antimicrobiens par les éleveurs. Un total de 17 éleveurs et de 54 chiennes furent inclus. Les chiennes étaient logées dans divers environnements de la région métropolitaine de Phoenix, Arizona, USA. Des écouvillons du nez et des gencives orales furent soumis pour une culture sélective. Aucun Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline ne fut détecté, alors que S. pseudintermedius fut trouvé chez seulement 1/54 chiens (1,9 %). Les résultats du sondage ont révélé que 16 chiennes, qui n’incluaient pas la chienne positive pour MRSP, avaient reçu des antimicrobiens à l’intérieur des 6 mois précédant l’échantillonnage. Indépendamment de la faible prévalence ponctuelle identifiée, les vétérinaires et les éleveurs devraient être au fait des risques pour la résistance bactérienne associée avec la surutilisation des antimicrobiens.(Traduit par Dr Serge Messier).
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