Asenapine for the Treatment of Psychotic Disorders

Can J Psychiatry. 2017 Feb;62(2):123-137. doi: 10.1177/0706743716661324. Epub 2016 Aug 6.

Abstract

Objective: A systematic review was conducted to examine the efficacy, tolerability, and acceptability of asenapine compared with other antipsychotics in the treatment of psychotic disorders.

Methods: Four databases, 8 trial registries, and conference presentations were searched for randomized clinical trials of asenapine versus any comparator for the treatment of any psychotic illness. Primary outcome measures were changes in the Positive and Negative Syndrome Scale (PANSS) total score and the incidence of withdrawal due to adverse effects.

Results: Eight randomized clinical trials, encompassing 3765 patients, that compared asenapine with placebo ( n = 5) and olanzapine ( n = 3) were included. No differences were found between asenapine and olanzapine in terms of changes to PANSS total or PANSS negative subscale scores. Patients taking asenapine were more likely to experience worsening schizophrenia and/or psychosis than were those taking olanzapine. No differences were found between asenapine and olanzapine in rates of discontinuation due to adverse drug reactions or lack of efficacy, but those taking asenapine had higher rates of withdrawal for any reason than those taking olanzapine. Asenapine caused less clinically significant weight gain or increases in triglycerides than olanzapine and was more likely to cause extrapyramidal symptoms than olanzapine. In comparison to placebo, either no difference or superiority was demonstrated in favour of asenapine on all efficacy measures.

Conclusion: The current evidence is limited, as asenapine has been compared only with placebo or olanzapine. In the randomized clinical trials analysed, asenapine was similar or superior to placebo and similar or inferior to olanzapine on most efficacy outcomes. While asenapine demonstrated fewer adverse metabolic outcomes than olanzapine, rates of extrapyramidal symptom-related adverse effects were higher.

Objectif:: Une revue systématique a été menée pour examiner l’efficacité, la tolérabilité et l’acceptabilité de l’asénapine comparativement à d’autres antipsychotiques dans le traitement des troubles psychotiques.

Méthodes:: Quatre bases de données, 8 registres d’essais et des présentations à des congrès ont étés recherchés pour y repérer des essais cliniques randomisés d’asénapine contre tout comparateur pour le traitement des maladies psychotiques. Les principales mesures des résultats étaient les changements du score total à l’Échelle des symptômes positifs et négatifs (PANSS) et l’incidence de la cessation en raison d’effets indésirables.

Résultats:: Huit essais cliniques randomisés (ECR) englobant 3 765 patients et comparant l’asénapine avec un placebo (n = 5) et l’olanzapine (n = 3) ont été inclus. Il n’y avait aucune différence entre l’asénapine et l’olanzapine en ce qui concerne les changements de total à la PANSS ou des scores à la sous-échelle négative de la PANSS. Les patients prenant l’asénapine étaient plus susceptibles de subir une aggravation de la schizophrénie et/ou de la psychose que ceux qui prenaient l’olanzapine. Il n’y avait pas de différence entre l’asénapine et l’olanzapine pour ce qui est des taux de cessation attribuables aux effets indésirables ou au manque d’efficacité, mais ceux qui prenaient l’asénapine avaient des taux plus élevés de cessation pour n’importe quelle raison que ceux qui prenaient l’olanzapine. L’asénapine causait moins de prises de poids ou d’augmentations des triglycérides cliniquement significatives que l’olanzapine et était plus susceptible de causer des symptômes extrapyramidaux (SEP) que l’olanzapine. En comparaison avec le placebo, aucune différence ni supériorité n’a été démontrée en faveur de l’asénapine à toutes les mesures d’efficacité.

Conclusion:: Les données probantes actuelles sont limitées puisque l’asénapine n’a été comparée qu’avec un placebo ou l’olanzapine. Dans les ECR analysés, l’asénapine était semblable ou supérieure au placebo et semblable ou inférieure à l’olanzapine à la plupart des résultats d’efficacité. Même si l’asénapine démontrait moins de résultats métaboliques indésirables que l’olanzapine, les taux d’effets indésirables liés aux SEP étaient plus élevés.

Keywords: Saphris; Sycrest; asenapine; asenapine maleate; psychosis; randomized clinical trials; schizoaffective disorder; schizophrenia.

Publication types

  • Review
  • Systematic Review

MeSH terms

  • Antipsychotic Agents / adverse effects
  • Antipsychotic Agents / pharmacology*
  • Dibenzocycloheptenes
  • Heterocyclic Compounds, 4 or More Rings / adverse effects
  • Heterocyclic Compounds, 4 or More Rings / pharmacology*
  • Humans
  • Psychotic Disorders / drug therapy*

Substances

  • Antipsychotic Agents
  • Dibenzocycloheptenes
  • Heterocyclic Compounds, 4 or More Rings
  • asenapine